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Opinions

Réaction du juriste et analyste politique Abdou Habibou sur la situation qui prévaut au Burkina Faso

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Mahamadou Arzika appelle à unifier la loi sur les OSC

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Le président du Mouvement pour la Promotion de la Citoyenneté Responsable (MPCR) et acteur de la société civile, Mahamadou Arzika, a réagi sur la question du statut juridique des syndicats et des organisations de la société civile au Niger. Dans une déclaration, il rappelle que syndicats, ONG et autres groupements à but non lucratif sont tous, par nature, des associations régies par la législation nationale en vigueur.

Selon lui, certaines interprétations tendancieuses laissent entendre que les syndicats bénéficieraient d’un statut particulier, les soustrayant au contrôle de l’autorité en charge de la gestion des libertés publiques. Une position qu’il qualifie de « lecture tordue et intéressée », rappelant que la Constitution et la Charte nationale de la refondation garantissent la liberté d’association, tout en précisant que celle-ci doit s’exercer dans le respect des lois et règlements.

Pour Mahamadou Arzika, il est illusoire de penser qu’un vide juridique existerait dans ce domaine, en s’appuyant sur des conventions internationales adoptées avant l’indépendance du Niger. Il insiste sur le fait que l’État, depuis 1960, dispose de ses propres textes et institutions pour encadrer la création, le fonctionnement et la dissolution des associations, y compris les syndicats.

Dans le contexte actuel de refondation politique, culturelle et institutionnelle, il rappelle les recommandations des assises nationales visant à élaborer une charte des organisations de la société civile et à créer un observatoire chargé de veiller à leur bonne gouvernance et à leur alignement sur les orientations des politiques publiques.

Mahamadou Arzika estime qu’il y a urgence à unifier et clarifier la législation, afin de renforcer la souveraineté et l’indépendance du Niger dans ses choix politiques et partenariats. « La bonne gouvernance vertueuse à tous les niveaux est une condition essentielle pour l’affirmation de notre souveraineté », a-t-il conclu.

 

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Opinions

Opinion : « Mohamed Bazoum est une figure indissociable de l’histoire du Niger », affirme Idrissa Waziri

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Dans une publication sur son compte Facebook, l’ancien conseiller spécial en communication de la 7ᵉ République, Idrissa Waziri, a souligné que l’ancien président Mohamed Bazoum reste une figure indissociable de l’histoire du Niger.
Waziri a estimé qu’il est nécessaire de privilégier l’unité et la justice pour bâtir l’avenir du Niger. « Le Niger d’aujourd’hui et de demain ne peut se bâtir que dans la justice et l’unité des cœurs et des esprits », a-t-il indiqué.
« Débarrassons-nous de cet esprit revanchard et des rancunes pour faire place à l’avenir. Le Niger mérite plus de sacrifices et de dons de soi. »
L’heure n’est plus aux règlements de comptes ni aux rancunes, mais à la réconciliation et à la reconstruction, a-t-il déclaré, en appelant à tourner la page des divisions.
Il a conclu en appelant à la libération du Président Bazoum et de son épouse.
Wadata Radio

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Coup d’État au Niger: Nous sommes avec le peuple du Niger

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Le vent du changement souffle en Afrique de l’Ouest et voilà le Sahel ouvert à l’émancipation. Dites alors aux marionnettes encore accrochées à l’Afrique de l’Ouest, que ce vent va souffler jusqu’à la côte. C’est une vague de révolution imparable, qui frappera dans les pays d’Afrique ou la mal gouvernance et l’impérialiste subsistent.

Certes, il y aura un effet domino, mais l’africain d’aujourd’hui n’est certainement pas celui des indépendances. La CEDEAO pense que cette démarche lui est propre, mais non, une fois que ça commence, ce serait une autre Ukraine. L’OTAN, nous soutiendra pour tuer nos frères. Nous lui tendrons encore nos deux joues pour recevoir ses gifles et nous lui ouvrirons grandement nos portes pour mieux exploiter nos ressources.

Nous allons Acheter leurs armes et nous nous assurerons nous-mêmes que le Niger va rester une vache laitière. Le peuple nigérien n’a pas invité la CEDEAO dans ses affaires internes. Si la démocratie consiste a respecté le choix des citoyens, à laisser le peuple décider de son destin, alors pourquoi une intervention militaire au Niger ? Pour gagner quoi et au profit de qui ? Certainement pas au profit du Niger, encore moins de la CEDEAO, mais plutôt de la France.

Les Nigérians ne soutiendront jamais cette guerre par procuration. Nous ne sommes pas des imbéciles pour combattre à la place de quelqu’un d’autre. L’Afrique de l’Ouest doit résoudre ses problèmes à sa manière, sans l’incitation de l’occident. Aussi, nous exhortons la jeunesse révolutionnaire du Sahel à se lever, car, l’avenir du Sahel se décide maintenant.

Nous sommes aux cotés du peuple nigérien, nos frères, nos sœurs de sang !

Professeur Yusuf M. Adamu, Université Bayero de Kano, Département de Géographie 

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