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l’insécurité dans la zone des trois frontières le Président du Faso reçu au palais présidentiel du Niger.

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Le Président de la République du Niger Bazoum Mohamed a reçu le dimanche 11 septembre 2022 à son palais, le chef de l’Etat Burkinabé le lieutenant colonel Paul Henri Sandaogo Damiba. La question sécuritaire et la lutte contre le terrorisme dans les zones de trois frontières était au centre de leur entretien. « c’est à ce titre que nous avons rendu la visite au Président nigérien pour examiner un peu, les défis auxquels on fait face au niveau de nos zones frontalières et trouver ensemble de nouvelles dynamiques ou de bonnes approches pour essayer d’y faire face » a indiqué le Chef de l’Etat du Faso à l’issue de leur entretien.

Le président de  la république du Burkina Faso a été accueilli à l’aéroport international Diori Hamani de Niamey, par le premier ministre chef de gouvernement Ouhoumoudou Mahamadou avant d’être reçu au palais présidentiel par Bazoum Mohamed.

Photo: DIRCOM/PRNC’est pour la première fois depuis son accession au pouvoir que Damiba a rendu une visite de travail et d’amitié au Niger, et cette visite vient après celle du ministre de la défense nationale nigérien Alkassoum INDATOU au Burkina-Faso.

Pour certains analystes des questions sécuritaires, certes, le Niger et le Burkina Faso sont entrain d’engranger des résultats probants dans la lutte contre terrorismes au niveau de leurs frontières. Mais, pour mieux maitriser et neutraliser l’ennemi, il faut que les deux Etats composent avec l’Etat malien, qui il faut le dire, est le quartier général des terroristes. Cette visite de Damiba au Niger peut aussi être une consultation entre les deux présidents pour voir comment ramener le Mali dans le G5-Sahel et aussi composer avec lui dans la zone des trois frontières.

 

Souley Magé Regeto Radio Wadata-Niamey.

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Niger : lancement de la 6e édition du mois du consommer local

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Le Ministre du Commerce et de l’Industrie, M. Abdoulaye Seydou, a procédé ce lundi 27 octobre 2025, au lancement officiel de la 6ᵉ édition du mois du consommer local, dans le cadre de l’initiative régionale portée par l’UEMOA. Cette édition est placée sous le thème : « Consommer local, facteur de développement des chaînes de valeurs régionales compétitives de l’UEMOA ».

Dans son discours, le Représentant Résident de l’UEMOA au Niger a salué l’engagement du Niger et les réformes engagées pour soutenir les filières de production locales. Il a rappelé que le plan stratégique 2025–2030 de l’UEMOA accorde une priorité à la transformation locale et au développement des chaînes de valeur régionales.

Prenant la parole, le ministre Abdoulaye Seydou a souligné que « consommer local » est un acte à la fois économique et patriotique. Le thème de cette édition cadre parfaitement avec l’Axe 3 de la Refondation de la République : « Développement des bases de production pour la souveraineté économique », une priorité du Chef de l’État, le Général Abdourahamane Tiani et du Premier Ministre Ali Mahamane Lamine Zeine.

Le ministre a également appelé les Nigériens à changer leurs habitudes de consommation et à faire confiance à la qualité des produits Made in Niger, tout en encourageant le secteur privé à investir dans la production locale.

Cette édition intervient dans un contexte marqué par deux mesures fortes prises par le gouvernement nigérien :

  • L’instauration de quotas à l’importation pour les produits déjà fabriqués localement ;
  • L’obligation pour les administrations publiques et subventionnées, d’acheter en priorité des produits locaux.

Le mois du consommer local devient ainsi un levier stratégique pour stimuler l’économie nationale, promouvoir les savoir-faire locaux et renforcer l’autonomie économique du Niger.

Par Jordan

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Après une longue pause, Niger Airlines reprend son envol

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Après plusieurs mois d’arrêt, Niger Airlines, la seule compagnie aérienne, nationale, assurant la desserte de l’intérieur du pays, annonce la reprise de ses vols domestiques à compter du mercredi 29 octobre 2025.

Dans un communiqué publié par sa Direction commerciale et marketing, la compagnie aérienne informe sa clientèle de la reprise officielle des rotations sur les lignes Niamey – Agadez – Arlit – Zinder – Niamey.

Cette relance constitue une étape importante dans la redynamisation du transport aérien national, avec pour objectif de renforcer la connectivité entre les principales villes du pays et de faciliter la mobilité des citoyens à travers le territoire nigérien.

Par conséquent, la compagnie invite les voyageurs à se rendre dans ses agences à Niamey et à l’intérieur du pays, dès le lundi 25 octobre 2025, afin d’effectuer leurs réservations de billets.

Niger Airlines, fidèle à son slogan « L’étoile du Sahel », réaffirme ainsi son engagement à offrir un service fiable, sûr et accessible à ses clients, tout en participant activement au développement du secteur aérien national.

Par Radio Wadata

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Le SMIG porté à 42000 F CFA au Niger : une avancée sociale aux effets multiples

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Le Conseil des Ministres de ce mercredi 22 octobre 2025 a adopté le projet de décret fixant le taux horaire du salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG) à 42 000 Francs CFA au lieu de 30 047 Francs CFA actuellement, soit une augmentation de 39,78%.

Selon le communiqué du gouvernement, ce projet de décret s’inscrit dans l’objectif de répondre favorablement aux doléances des partenaires sociaux par la revalorisation nécessaire du Salaire Minimum Interprofessionnel Garanti.

Le relèvement du Salaire Minimum Interprofessionnel Garanti (SMIG) à 42 000 FCFA au Niger représente une avancée sociale importante.

Le SMIG s’applique principalement aux travailleurs du secteur formel, notamment : les salariés non qualifiés dans l’agriculture, le bâtiment, l’artisanat, le commerce, etc. ; les employés domestiques (ménagères, gardiens, cuisiniers…) ; les travailleurs du secteur privé, rémunérés au minimum légal ; Certains employés de petites entreprises, ONG ou établissements semi-publics.

Néanmoins, le secteur informel (très dominant au Niger), les indépendants, les agriculteurs non salariés, etc., restent en dehors du champ d’application direct.

Cette mesure a de nombreux impacts positifs qui pourraient être attendus. Il s’agit de l’amélioration du pouvoir d’achat des travailleurs à faibles revenus ; la réduction des inégalités salariales entre classes sociales ; la stimulation de la consommation locale, notamment pour les biens de première nécessité ; le renforcement de la justice sociale et de la dignité des travailleurs et l’incitation à une meilleure déclaration des emplois formels.

Toutefois, pour avoir un impact réel de cette mesure, il faut renforcer les mécanismes de contrôle (Inspection du Travail) ; sensibiliser les employeurs sur leurs obligations ; appuyer les PME pour absorber le surcoût salarial et d’un élargissement progressif de la formalisation du travail au Niger.

Par Jordan

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